***** "Elle disait: "j'ai déjà trop marché,<br>mon cur est déjà trop lourd de secrets,<br>trop lourd de peines".<br>Elle disait: "je ne continue plus,<br>ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu,<br>c'est plus la peine"."<br><br>Tatsächlich winterlich schwer und melancholisch und trotz allem zart und berührend ist diese breit instrumentierte Abschiedsballade an eine (fiktive?) Bekannte, die keinen andere Ausweg, als den Selbstmord sah. Eines der wohl traurigsten und bewegendsten Lieder Cabrels.<br><br>"Elle a sûrement rejoint le ciel,<br>Elle brille à côté du soleil,<br>Comme les nouvelles églises.<br>Mais si depuis ce soir-là je pleure,<br>C'est qu'il fait froid<br>Dans le fond de mon cur." |